Cinquième article sur mon projet de roman pour Bibli… changement de programme ! Aujourd'hui, résumé d'un été passé à écrire et à se tourmenter !

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Salut les vendinautes !

Comme cela fait un petit bout de temps que je n'avais rien écrit sur ce blog, en-dehors de quelques updates sur les avancées de la rédaction, voici une mise à jour sur les derniers évènements !

Si vous vous souvenez bien, je travaillais sur un projet intitulé Vendicratie suite à une prise de contact avec l'un des fondateurs du site de crowdfunding Bibliocratie. Pour plus d'infos, je vous invite à relire mes anciens articles à ce sujet ici.

Alors que la rédaction progressait lentement mais sûrement, j'ouvris un beau jour ma boîte mail, comme je le faisais tous les matins, quand je tombai (bicoze je parle souvent de ma vie au passé simple) fort fortuitement sur le message suivant :

> lien vers la lettre complète <

Ah. Hé hé, euh… Ah bon ?

J'avoue qu'au début, je suis tombé dans le panneau ! C'était une excellente farce du 1er avril ! Certes, ils l'avaient faite un 20 juillet, mais quand on aime, on ne compte pas.

N'est-ce pas ? Pas vrai ? … non ?

Quand j'ai réalisé que ce n'était pas une blague, j'ai eu les réactions suivantes simultanément.

Je veux dire… Sérieusement ?! Que le disque dur d'un ordi plante, ok, c'est le hasard de la vie. Que je perde toutes mes données dessus, ok, c'est de ma faute, je n'avais qu'à être plus prudent. Mais là… que la maison d'édition (appelons un chaton espiègle un chaton espiègle) coule de cette façon, du jour au lendemain, c'est un peu poussé ! Et ce n'est même plus drôle car dès le 29 du même mois la société était officiellement en liquidation judiciaire.

Pendant deux-trois jours, je n'ai même pas touché mon ordinateur, qui de toute façon commençait tellement à se comporter de façon de plus en plus étrange que j'en étais venu à le surnommer iUltron.

Ceci est une révolution DE TA MORT. Incontestablement mon troisième méchant préféré.

Puis, alors que je faisais un peu de ménage dans mes dossiers téléchargés, pour la simple raison de faire un nettoyage de printemps en été (l'esprit de contradiction l'emporte encore !), j'ai découvert que j'avais une fois téléchargé le règlement d'un concours d'écriture de polar.

Pile poil dans ma catégorie !

Les seuls impératifs étaient la limite de signes (entre 250'000 et 500'000) et le délai un petit peu short (le 13 septembre à minuit au plus tard).

Déterminé à réorienter le destin de Vendini, je me suis entraîné durant des jours et des nuits, à apprendre la maîtrise des mots, à les soumettre à ma volonté, à les tordre et les manipuler selon mon bon vouloir.

Lady Kuvira ici en train de perfectionner ma technique d'écriture. Incontestablement mon deuxième méchant préféré.

Tant et si bien que le jour fatidique arrivé, j'étais prêt. Au prix d'innombrables litres de thé (une boîte de 50 sachets Twinings coûtant approximativement 5€, je peux affirmer que ce texte doit me rapporter au minimum 480€ de bénéfices pour couvrir mes dépenses), j'en ai terminé.

La rédaction était terminée.

La correction était terminée.

Ma vie sociale était exterminée. Non pas que j'en ai eu énormément avant, à la réflexion…

Mais l'essentiel était là ! Et le 13 septembre 2015, à 20h, le texte fut soumis au concours en question. Comme diraient les Turcs : in the nick of time ! Durant une fraction de seconde, j'ai été le king d'internet.

Amon ici en train de perfectionner ma technique du king d'internet. Incontestablement mon méchant préféré.

Et voilà où on en est aujourd'hui. Vendini a enfin emprunté son chemin vers la célébrité, en espérant qu'il sera couronné de succès. Autrement, il en restera qu'à essayer encore, encore, encore, encore, et encoooooooore ! Il y a bien un moment où ça passera… Non ? Ils vont pas me faire le coup deux fois, quand même, j'esp…

YOU SON OF A B…

Retrouvez tous les derniers articles retraçant le parcours de Gangster Paradise ci-dessous, et je vous dis à bientôt pour un prochain article !

• Vendicratie
• Vendicratie : des personnages et de l'intrigue
• Vendicratie : extrait n°1
• Vendicratie : extrait n°2
• Martha, un stéréotype ?